Les visuals novels est un monde un peu à part dans le domaine des jeux vidéo, entre la frontière du jeu et du roman interactif, principalement développé au Japon et ayant conquis le globe, il est possible de trouver désormais des studios de l'ouest faire leurs propre Visual Novels avec des designs inpiré du pays du soleil levant.

N'ayant jamais accroché, je voulais retenter ma chance avec le genre, et il se trouve que Doki Doki Littérature Club s'est avérer comme être une bonne introduction. Il suffit de s'immerger comme lorsqu'on lit un livre, avec en plus une ambiance musicale ainsi que la réactions de nos protagonistes: Monika, Natsuki, Sayori et Yuri. On choisit machinalement une des lycéennes avec qui on veut flirter, on commence à songer aux poèmes qu'on veut lui écrire, on est impressionné par le talent d'écriture de ces jeunes au club de littérature.

Plutôt classique j'imagine pour les habituer, jusqu'au moment où le jeu va venir vous parler plus sérieusement. L'expérience a été un vrai plaisir, je suis passé par beaucoup d'émotions pendant que je jouais, avec des passages où je ne me sentais pas forcément à l'aise.

C'est rare de ne pas avoir l'impression de joueur au, mais plutôt avec le jeu. Ce fut réellement un plaisir et j'ai écrit ces quelques lignes avec la bande originale disponnible sur la page itch.io du jeu pour une donation d'au moins $10.

Sur ce je vous laisse, je me prépare mentalement pour rejouer et voir ce que je vais pouvoir en tirer, car c'est là une des forces des Visual Novels que j'ai découvert en jouant à DDLC: La rejouabilité. Contrairement à une avancée linéaire qu'un roman offre, ici il est possible de recommencer en traçant une nouvelle ligne dans le parcours de l'histoire tout en découvrant de nouvelles façons d'intéragir avec les personnages.

Avertissement tout de même, le jeu ne convient pas forcément à un jeune public et aux personnes anxieuses ou sensibles à la dépression, les développeurs insistent bien sur ces points dès le lancement du jeu.

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